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Association française de développement
des centres d’art contemporain

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Les centres d’art contemporain
Johanna Cartier
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Chaque année, les centres d’art contemporain produisent ou coproduisent près de 1 500 œuvres inédites, en accompagnant les artistes au plus près de leurs projets.

Johanna Cartier, Starting Blocks, 2021

Passerelle Centre d’art contemporain

Polystyrène extrudé, peinture aérosol pour jantes

Coproduction(s) :

DDA Bretagne

Avec le soutien de :

Suravenir, filiale du Crédit Mutuel ARKEA

Cadre de production :

Résidence de création « Les Chantiers Résidence », Passerelle Centre d’art contemporain, Brest, (2020–2021).

Exposition personnelle « Turfur », Passerelle Centre d’art contemporain, Brest, (11.06–11.09.2021).

© Photo : Aurélien Mole, Courtesy de l’artiste.
L’exposition Turfur résulte de l’observation de cet univers si particulier naviguant entre sport et pari d’argent. Ce monde très masculin est celui du PMU, du bar de quartier ou de cité, celui du jeu Amigo de la Française des Jeux®. Le design y est vieillot ou kitsch, l’atmosphère est celle d’une France invisible et invisibilisée, bercée par les chaînes d’information allumées en continu.

Johanna Cartier, Diva et Supra, 2021

Passerelle Centre d’art contemporain

Vidéo HD, 3’40 min (each)

Coproduction(s) :

DDA Bretagne

Avec le soutien de :

Suravenir, filiale du Crédit Mutuel ARKEA

Cadre de production :

Résidence de création « Les Chantiers Résidence », Passerelle Centre d’art contemporain, Brest, (2020–2021).

Exposition personnelle « Turfur », Passerelle Centre d’art contemporain, Brest, (11.06–11.09.2021).

© Photo : Aurélien Mole, Courtesy de l’artiste.
À travers deux films, SUPRA et DIVA, l’idée est d’inverser les rôles, les situations et les présupposés. Le cavalier y est tapageur, sapé pour la ride, tandis que l’adepte des rodéos urbains s’avère tendre, voir sensuel avec sa monture mécanique. Les deux ont en commun d’être héroïques tout en étant déconcertants. Ils mêlent des intérêts, a priori, de « bourgeois » – l’apologie de l’art équestre – à ceux du « gars de cité » tel que la fascination pour la bécane.